La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis DEvans (Épisode N°1548)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) Suite de l'épisode précédent N°1547) -
Chapitre 16 bis : Etude anthropologique
- Assieds-toi salope, colle et ventouse bien ton trou du cul sur le sol verré, en écartant tes fesses !
Lhomme qui venait de me donner cet ordre, nétait autre que celui portant une blouse blanche. Il avait appuyé sur le bouton dun micro quil portait au col de sa blouse, micro relié à une enceinte Bluetooth posée sur le haut de la cage. Jétais effaré, consterné totalement ébahi, jusquoù allais-je devoir me corrompre, me dépraver. Je les voyais tous les quatre, sous moi, en train dexaminer lintérieur de mon cul, je les voyais parler, mais je nentendais toujours rien de leurs échanges. Loutrage nétait pas encore fini, il me fallait maintenant massoir sur le sceau et pisser devant eux
Impossible duriner, jamais je navais fait ça en public. Après cinq bonnes minutes, je pissotais seulement quelques gouttes, lhomme en blanc semblait se satisfaire du résultat. « Ouf ! » pensais-je
à tort ! Il voulait me voir maintenant déféquer, là devant eux
lIgnominie était à son comble
je me maudissais, me détestais, jétais à lagonie. Toutes ces abominations me réduisaient à néant, je nétais plus rien
plus quun être vivant, loffense et loutrage, lhumiliation et laffront
et pourtant jobéissais en me vautrant dans la déliquescence en meffondrant dans les abimes les plus ignobles
bref, jétais dans le délabrement total
Seule une partie de mon corps réagissait encore : ma nouille ! Elle senflammait pour un oui, pour un non, sans raison, comme si elle se satisfaisait de cette désolation.
Depuis combien de jours, de nuits étais-je là ? La lumière restait en permanence éclairée, je ne pouvais savoir sil faisait nuit ou jour
Javais perdu toute notion du temps, tournais en rond dans cette cage trop étroite, à en devenir dingue, ne voyant personne, hormis cet homme qui me nourrissait de bouillies infâmes, qui me toilettait sommairement, qui mexaminait longuement derrière ces vitres
Le lendemain, lhomme revenait, toujours avec les trois mêmes étudiants.
Quelle fut ma surprise lorsquun autre jour je vis arriver de nouveau lhomme à la blouse blanche, mais cette fois-ci avec un jeune homme denviron mon âge, grand, mince et musclé, tout nu lui aussi, avec un collier autour du cou, et les mêmes gants que ceux que je portais depuis mon arrivée ici.
- Attention les deux salopes, interdiction de vous donner du plaisir, encore moins de vous enculer ! Je vous surveille
, nous disait menaçant, lhomme à la blouse blanche dans le micro, avant de nous laisser une nouvelle fois
Antoine et moi, étions dans le même état
tous les deux, dès que nos corps seffleuraient involontairement, nous nous mettions à bander
à bander furieusement ! Était-ce le manque de sexe ? Y avait-il autre chose entre nous ? Antoine mattirait, à chaque fois que je le regardais, je sentais papillonner mon ventre... Mon entrejambe était en émoi
mes tétons et ma queue sérigeaient malgré moi. Lui aussi était dur, sa queue pointait régulièrement entre ses jambes, son gland laissait paraitre régulièrement un filet translucide
Dans ce cas de figure, la perversité, le sadisme consistaient à nous avoir enlevé nos cages de chasteté, nous avoir équipé de gants piquants et de nous laisser bander comme des taureaux sans pouvoir se soulager
Pendant des heures, peut-être des jours encore, nous restâmes ainsi, lun à côté de lautre, à nous regarder, sans parler mais en bandant terriblement par cette attirance et ce manque de sexe à ne pas pouvoir vider nos couilles
Le langage de nos corps serviles et chauds me suffisait !
Alors que je dormais, couché près desclav'antoine, quasiment lové contre lui, jétais brutalement réveillé par une main se saisissant de mon collier. Sans rien comprendre, en moins de temps quil ne faut pour le dire, jétais sorti manu militari de cette cage de verre et emmené par la cuisinière dans le bureau du Maître, sous les insultes de Madame Marie et sous ses vifs coups de cravache sur mon fessier.
- Reste à quatre pattes, Mon chien, tout près de lâtre de cette cheminée, mordonnait-il.
Le Noble se levait, sans un mot, venait flatter ma croupe, caresser mon anus, ce qui eut pour effet de me faire bander sur le champ.
- Voilà huit jours que tu es enfermé, Mon chien, huit jours qui ont permis à mon ami Pierre, un éminent anthropologue, détudier, danalyser, de scruter ton comportement, tes agissements, tes actes, ton caractère, tes aptitudes à lobéissance alors que tu étais dans le dénuement et lenfermement total, parfois dans la détresse, dans le manque. Analyser aussi tes réactions avec un autre de tes congénères. Ainsi, avec ses analyses, ses études, il a pu terminer ses travaux anatomiques, biologiques, morphologiques, physiologique. Des travaux en deux temps, dabord sur les comportements propres et individuels, ensuite il a étudié les comportements sociologiques avec la présence dun autre de Mes esclaves. A ce propos, Pierre ma fait part de tes pulsions sexuelles à légard de cette salope quest esclavantoine
A-til bien analyser les choses ?, répond-Moi, bâtard.
- Oui Maître, cest tout à fait exact, Maitre, répondais-je tête basse.
Sur ces entrefaites, Madame Marie frappait et entrait dans le bureau du Noble, accompagnée desclavantoine tenu en laisse et marchant en quadrupédie derrière elle.
- Je vais vous ôter ces gants, chiennes que vous êtes, vous allez abimer cette belle moquette.
Enfin les mains libres, enfin, jallais pouvoir me toucher, me caresser
Mais pour lheure, cétait la langue desclavantoine qui caressait mon anus. Une langue baveuse, cherchant à sintroduire, cherchant à simmiscer en moi le plus loin possible, alors que Madame Marie lui poussait la nuque contre mon cul. Je bandais terriblement et geignais abominablement.
- Encule-le, dun trait et reste enfoncé en lui, sans plus bouger dans un profond coït anal.
Sous la poussée, esclavantoine saffaissait en hurlant comme une bête, alors que Madame Marie, elle aussi très excitée, attrapait nos couilles pour me remettre à quatre pattes alors quesclavantoine se positionnait en levrette.
- Vas-y Marie, fait ce que je tai dit !, lui intima le Châtelain
Sans se faire prier, la cuisinière liait fermement mes couilles à celles desclavantoine, mobligeant ainsi à rester planter en lui, sans plus bouger, sous peine de nous émasculer lun et lautre. A cet instant, Monsieur le Marquis plaçait sous mon regard une photo jaunie
. Je reconnaissais immédiatement mon père nu, chevauchant ma mère positionnée comme létait esclavantoine.
- Première copulation de ton père et de ta mère, tous deux faisant partie de Mes meilleurs esclaves MDE !, me lançait le Maître
Alors que je regardais ébahi, interloqué, la photo, Marie me cravachait le cul dune volée de coups sans ménagement
(A suivre
)
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